Avec un quinzaine d’albums studio à leur actif, les Meat Puppets ont influencé la musique de Dinosaur Jr, Pavement et même Nirvana ! Trois titres des Meat Puppets (Oh Me, Plateau et surtout Lake of Fire) sont d’ailleurs devenus mondialement connus grâce au MTV Unpluggeds de Nirvana en 1994, où le trio de Seattle joue ces titres avec les frères Kirkwood.
Formé en janvier 1980, le groupe est issu de la scène underground hardcore américaine. Ils intègrent le fameux label SST (Minutemen / Husker Du / Sonic Youth…) fondé en 1978 à Long Beach (Californie) par Greg Ginn, guitariste des Black Flag, qui leur fera signé leur premier disque « Meat Puppets » en 1982.
Insatisfait du résultat le groupe se sépare plusieurs fois avant la sortie de « Meat Puppets II » en 1983.
Les expérimentations du groupe : acid rock, psychédélique, ballades, en plus d’un son « western trash » font de « Meat Puppets II » leur « classique ».
Le son du groupe se place dans la droite lignée des Byrds ou encore des Grateful Dead.
Sunny Drivers, ce sont des racines rock assumées, enrobées par des sonorités folk et acoustiques. Deux guitares sèches, une basse et une batterie qui martèlent tantôt des refrains bruts et énergiques, tantôt des partitions plus aériennes et reposées.
Fondée à l’automne 2021 par d’anciens membres de groupes comme Dog’n’Style, Mad Roosters, Flashback ou My Spoon is too Big, la formation retranscrit son expérience passée sur scène à travers des titres simples et fédérateurs. En concert, Sunny Drivers alterne volontiers entre des refrains qui se chantent une bière à la main et des morceaux plus intimistes. En somme, une schizophrénie joyeuse qui se vit et s’écoute sur scène, sans artifices ni faux semblants.
Fondée à l’automne 2021 par d’anciens membres de groupes comme Dog’n’Style, Mad Roosters, Flashback ou My Spoon is too Big, la formation retranscrit son expérience passée sur scène à travers des titres simples et fédérateurs. En concert, Sunny Drivers alterne volontiers entre des refrains qui se chantent une bière à la main et des morceaux plus intimistes. En somme, une schizophrénie joyeuse qui se vit et s’écoute sur scène, sans artifices ni faux semblants.